Il y a quelques semaines j’ai entendu parlé d’une pétition, relayée depuis par les réseaux sociaux et par la presse (notamment « Le petit journal », « Journal des femmes« , « Huffington post » …), lancée par une jeune francilienne touchée par l’épreuve qu’a dû affronter Lauren WASSER, amputée de la jambe droite à l’âge de 24 ans.
Il s’agit d’une tragique nouvelle pour cette jeune mannequin, qui pourrait être la conséquence de mille choses …un accident de la circulation … la conséquence d’un acte de guerre…
Rien de tout cela ; elle a tout simplement utilisé un tampon hygiénique (vous avez bien lu) et a été victime de ce que l’on appelle un syndrome de choc toxique (SCT). Si des femmes dans des pays moins civilisés que les nôtres peuvent mourir de graves maladies gynécologiques, et bien dans nos pays nous pouvons être mutilées après l’utilisation d’un tampon hygiénique! Quelle avancée !
Une solution apparaît pourtant comme une évidence, mais visiblement seulement pour les utilisatrices : un affichage scrupuleux de la composition des « ingrédients » présents dans les protections menstruelles.
Alors pour soutenir l’initiative de Mélanie DOERFLINGER voici le lien pour signer sa pétition.
A vos souris !
Imogène
I.M.O.
http://www.change.org/p/
Une bien noble cause!